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Le Cancer du Sein


Ce qu'il faut savoir...

La Réalité

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Nouveaux cas par an en France

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Femme sur 8 sera touchée au cours de sa vie

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jours minimum après les règles afin de faire une auto-palpation ou une mammographie

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% de facteurs de risque supplémentaires pour les navigants, dus au travail de nuit, induisant un dérèglement des rythmes circadiens, ainsi qu'aux radiations ionisantes

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Femmes décèdent chaque année d'un cancer du sein en France

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Femmes sur 10 sont mieux guéries si elles sont dépistés à un stade précoce

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mastectomies sont réalisées par an en France

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ans, un intervalle recommandé pour une mammographie mais pouvant être alternée par une échographie

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% d'hommes sont également victimes d'un cancer du sein

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% des cancers du sein se déclarent après 50 ans

L'autopalpation est la première action de prévention que chacune ou chacun peut apprendre

Avant toute consultation médicale, mammographie et/ou échographie, il est essentiel d’apprendre à connaître votre corps, ici particulièrement vos seins. Dès l’âge de 20 ans, adoptez le même réflexe chaque mois : auscultez-vous environ 8 jours après la fin de votre cycle menstruel et soyez attentive à une grosseur nouvellement apparue, une déformation, qu’elles soient associées ou non à une quelconque douleur. Attention, ne soyez pas trop alarmiste, une grosseur, une déformation ou un nodule ne signent pas systématiquement la présence de cellules malignes, et donc d’un potentiel cancer. Cela peut être juste une alerte, et comme nous ne cessons de le rappeler : plus vous serez attentive à ces signaux, meilleures seront les indications que vous pourrez apporter en consultation auprès de votre médecin, qui, lui, vous orientera, dans le parcours de soins de soins appropriés et coordonnés. En cas de présence de cellules suspectes, la précocité de la détection, dont vous serez à l’initiative à travers l’autopalpation, garantira une prise en charge présentant de bien meilleures chances de guérison complète.

Le droit à l'oubli, où en sommes nous ?

Le droit à l’oubli permet aux personnes atteintes de cancer de ne pas déclarer, passé un certain délai, leurs antécédents lors de la souscription d’une assurance emprunteur. Ce droit a été instauré dans le cadre de la convention AERAS (s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) qui facilite l’accès à l’assurance et au crédit pour les personnes présentant un risque aggravé de santé.

La convention AERAS met en place un parcours emprunteur afin de faciliter l’accès à l’assurance et à l’emprunt pour les personnes présentant un risque aggravé de santé. Il s’applique dès lors qu’un candidat présente un risque aggravé de santé au vu des éléments médicaux fournis.
La demande d’assurance est examinée à 3 niveaux successifs si nécessaire.

Mise à jour du 29 fév 2022, suppression du questionnaire médical (voir tous les détails sur le site de l'aréas, lien ci-dessous)

  • Le niveau 1 correspond à l’analyse des risques standards.
  • Si le dossier est refusé au niveau 1, il est transféré au niveau 2 d’examen et fait l’objet d’une analyse individualisée. A ce stade, l’assureur peut demander des examens médicaux complémentaires.
  • Si le dossier est refusé au niveau 2, il est réexaminé à un troisième niveau constitué par un pool de réassureurs (assureurs des assureurs) qui statue en dernier recours sur la demande d’assurance.
  • En cas de refus à ce stade, l’emprunteur peut saisir la Commission de médiation de la Convention AERAS.

L'origine : le Ruban Rose

 

rubanroseEn 1992, Mrs Evelyn H. Lauder, Senior Corporate Vice President d’Estée Lauder Companies, co-créa le Ruban Rose, reconnu aujourd’hui comme le symbole international de la campagne de sensibilisation sur l’importance du dépistage précoce du cancer du sein.

Grâce à elle, le mois d’octobre est devenu à travers le monde le rendez-vous annuel de cette campagne de sensibilisation.

En 1993, Mrs Lauder décida d’aider les plus grands chercheurs médicaux et scientifiques de la planète et créa la fondation Breast Cancer Research Foundation (BCRF) pour soutenir la recherche.

Sous l’impulsion de Mrs Evelyn H. Lauder,  la BCRF est devenue la plus grande organisation américaine exclusivement destinée au financement de grands travaux de recherche portant sur les causes, le traitement et les possibilités de dépistage du cancer du sein.

En France, l’association Le Cancer du Sein, Parlons-en !, créée en 1994, est une émanation de la BCRF, dont les objectifs sont de promouvoir l’importance du dépistage précoce et de soutenir la recherche grâce à une campagne de communication et de collecte de fonds.
Les membres fondateurs de l’association RUBAN ROSE sont Estée Lauder Companies France et le magazine Marie Claire.

La Wellness Team Massage

Marie-Hélène G. est une professionnelle du bien-être et des massages, avec son équipe : la wellness team massage, ils soutiennent l’association en promulguant des soins et des massages à nos équipes de sportives ou bien en faveur de l’association.

Les vertus des massages de Bien être pour les personnes atteintes de cancer ou l’Oncomassage

Les massages ont pour vertus d’apaiser les personnes atteintes de cancer, ceux-ci ne devant pas dépasser 30 min lorsque celles-ci sont en traitement !

Ce qu’un massage peut apporter à un patient :

  • Le touché agit sur l’émotionnel et le psychologique
  • Réduit le stress, les tensions et l’anxiété
  • Soulage les douleurs physiques et réduit les tensions musculaires
  • Stimule la défense immunitaire
  • Lutte contre l’insomnie vu qu’il est là pour apaiser
  • Diminue l’œdème
  • Installe un climat de confiance en soi et estime de soi, de son être qui est chamboulé et son corps physique modifié.
  • Améliorer la circulation du sang
  • Atténuer les nausées et maux de tête

Les personnes cancéreuses ont souvent peur de se faire masser.

Plus besoin d’avoir peur, il faut en parler avec votre oncologue et un massothérapeute qui peuvent être en correspondance afin de rassurer le ou la patient/te et d’être clair sur la pratique exercée sur la personne.

Le massage est rarement contre indiqué, au contraire il peut aider au traitement selon la technique de massage et si celle-ci est bien maîtrisée par le ou la praticien/ne.

Le massothérapeute doit être bien informé sur la pathologie, le traitement en cours, les différents soins, les différents symptômes, l’évolution par rapport au corps. Il s’agit donc d’avoir un bon entretien entre le ou la patient/te pour aussi qu’il y ait un climat de confiance, de respect et compassion.

Les techniques de massages appliquées doivent être adaptées aux types de cancer, aux traitements et à l’évolution de la maladie selon la personne. Le praticien doit savoir quel type de massage adapté et avoir l’autorisation du médecin afin d’avoir une action complémentaire !

  • On ne doit pas masser un patient en radiothérapie ou chimiothérapie qui a une infection virale ou bactérienne.
  • On n’applique en aucun cas les percussions et les frictions profondes sur un malade en traitement. On utilise les mains pleines et les doigts.
  • On ne masse pas une personne ayant de la fièvre ou ayant un traitement d’anticoagulants.

Le massage californien est basé sur de grands effleurements, il se pratique sur table de massages avec de l’huile, par de grands glissés fluides. Le praticien doit être à l’écoute du corps. Ce massage est fait pour procurer bien-être et détente totale.

Le shiatsu fait partie des massages très appréciés, c’est une technique qui est constituée de pressions des doigts sur les points réflexes plus ou moins intenses et sur les flux énergétiques de l’organisme. Pratique faîte sur patient habillé allongé sur futon.

Le Amma, massage sur chaise ergonomique, est un massage relaxant pratiqué sur les vêtements. Ce sont des légères pressions de façon à apaiser et harmoniser la partie dorsale du corps et bras lorsque c’est possible.

 

Il faut privilégier tous les types de massages avec glissés, effleurements, légères pressions, en utilisant des huiles neutres et/ou Bio si besoin, vu que les traitements rendent les peaux plus sensibles.

De préférence faire le massage sur les zones du corps non touchées, non affectées par la maladie de façon à ce que le massé retrouve la sensation de se réapproprier son corps.

Se faire Masser lorsque l’on supporte un lourd traitement, c’est réintégrer son corps, l’apaiser, être à son écoute et du coup être mieux avec soi-même !